J’Ai Couché Avec Ma Belle Mère

A cette période, j’avais 33 ans, je vivais avec Stephanie depuis plus de 2 ans. On s’entendait bien sur tous les points. Avec le temps nos parties de jambes en l’air sont devenus vraiment géniales. Bien que je n’arrivais pas à tomber amoureux d’elle je lui ai toujours resté fidèle car j’aimais cette relation. Du coup je ne pensais pas qu’un jour tout ça arriverai.

La mère de Stephanie, divorcée depuis plus de 20 ans, vient régulièrement nous rendre visite depuis que Thierry (le frère de Stéphanie) vit en Guadeloupe. Ca lui arrive même régulièrement de dormir chez nous dans la chambre d’amis.

Un soir, comme assez régulièrement je quitte le boulot tard et quand je rentre à la maison tout est éteint. Ma petite femme, m’a préparé un truc à manger mais je n’ai pas faim alors je vais me prendre une bonne douche et enveloppé dans ma serviette je vais regarder la télé.
Quand j’émerge la télé est toujours allumée et ma belle mère est assise à côté de moi. Elle me dit qu’elle n’arrive pas à dormir et en fixant entre mes cuisses elle rajoute:
« Attention à ton petit oiseau. Enfin de ce que j’ai vu, il n’est pas si petit que ça! ». On a toujours eu des rapports très cordiaux et respectueux alors je ne m’attendais pas un jour à entendre ça de sa part, ce qui me fait rougir. Quand je vois sa main glisser sous ma serviette et que je sens ses doigts contre mon sexe, qui malgré tout commence à grandir, je suis tétanisé.
Ma belle mère prend ma queue à pleine main et commence doucement à me branler. Je suis encore sous le choc mais je ne peux rien faire pour ne pas encore plus bander vu ses caresses. D’un coup de main elle dégage ma serviette et une fois que ma bite est totalement à l’air elle confirme que je suis loin d’avoir un petit oiseau. Elle dégage ses cheveux bruns en arrière et commence à s’agenouiller entre mes jambes et avant de cajoler ma queue avec sa bouche elle rajoute:
« Dommage que le père de Stephanie n’en avait pas une aussi grosse » puis elle gobe mon sexe et enserre entre ses lèvres mon sexe gonflé et fait tournoyer sa langue autour de mon gland.

Je fais timidement passer ma main dans ses cheveux ce qu’elle prend pour un « ok, on peut se lâcher », puisqu’elle se met à genoux sur le canapé sans faire sortir ma bite de sa bouche et se cambre au maximum pour faire ressortir son cul. Elle att ma main qui est toujours dans ses cheveux et la pose sur ses fesses.

Au point où on en est autant en profiter alors je lui caresse les fesses et le haut des cuisses puis ma main glisse encore assez timidement vers sa chatte poilue, elle dégouline déjà. Je rentre un doigt dans sa fente que je fais coulisser au même rythme que sa bouche coulisse sur mon sexe.
Apres quelques allers retours je ressors mon doigt alors que ma belle mère continue de me sucer, et je retourne à la conquête de son cul et son petit trou.
Au moment où mon doigt gluant se pose sur son oeillet et commence à le pénétrer elle empoigne ma main et la redirige vers sa chatte. Ok donc la sodomie ça ne sera pas pour ce soir alors je pars à la recherche de son clito sous ses poils abondant. Dès que mon index et mon majeur lui frictionne allègrement son petit bouton elle se met à gémir bien qu’elle est la bouche pleine. J’arrive quand même à lancer un « chut » car il ne vaut mieux pas réveiller sa fille.
J’augmente la pression sur son clito et elle se déchaîne encore plus sur ma bite. Bien que mes doigts ne soient pas en elle, ils sont de plus en plus trempés. C’est pas possible, ma belle mère est une femme fontaine! Du coup je joue encore plus avec mes doigts mais très vite, elle les retire et recrache ma queue pour venir s’assoir dessus.
Je resserre mes jambes pour qu’elle puisse les enjamber, elle m’empoigne à la base du sexe et serre aussi mes couilles entre ses mains. Elle commence par se caresser la moule contre mon gland, elle se titille aussi le clito avec. Je sens sa cyprine couler le long de mon mat tendu et même humidifie mes couilles. Après avoir fait aller et venir mon frein entre ses lèvres intimes, elle replace ma queue bien droite, qui n’en peux plus et a envie d’envahir son fourreau et s’empale d’un coup sec dessus. Elle pousse tellement fort que j’ai eu l’impression que mes couilles aller aussi rentrer en elle.
Après un moment immobile, ma belle mère commence à monter et descendre le long de ma tige et j’en profite pour plonger ma tête vers sa poitrine très généreuse et lui pincer les tétons avec mes lèvres, vu qu’elle adore ça je remplace rapidement mes lèvres par mes dents et j’ai bien fait car je la sens encore plus couler sur mes cuisses.

Vu que ma bouche et ma queue son occupé, mes mains ont besoin d’action alors je lui caresse rapidement son petit bouton bien humide et je repars à la conquête de son petit trou. Cette fois elle ne me repousse pas et au moment où je commence à aller et venir aussi entre ses fesses, je la sens encore plus dégouliner et quelques secondes plus tard son vagin se contracte autour de ma queue et sa chatte coule encore plus sur moi.
Apres être restée un moment avachi sur moi, elle m’embrasse et me dit « Ma fille a de la chance! », elle se soulève doucement et réalise que je n’ai pas encore joui du coup elle se glisse entre mes jambes et reprend sa fellation tout aussi endiablé que tout à l’heure. Assez rapidement je sens la sève monter dans ma queue, je lui fait signe de se pousser mais ma belle mère me fait jouir dans sa bouche et avale tout le jus que je viens d’envoyer. Sa fille ne m’a jamais sucé à fond mais la mère oui!

Ma belle mère s’est relevée et m’a roulé une pelle avant de me souhaiter bonne nuit et retourner dans sa chambre. J’ai tout rangé et nettoyé puis je suis retourné sous la douche pour enlever toutes les odeurs dues à ce moment d’égarement avec ma belle mère et je vais m’allonger à côté de Stéphanie.

J’ai revu et aussi recouché avec ma belle mère jusqu’à ce que sa fille comprenne notre manège et que je n’entende plus jamais parlé de la fille et qu’une seule fois la mère mais ça c’est une autre histoire…